J’ai vu la guerre et la bombe humaine se faire la cour à qui mieux mieux dans un déchainement de soi et de qui ira le plus loin dans la démonstration de l’humanisme contre-balançant quelques Roms envoyés paître ailleurs.
Je retiens cette fin d’article du Courrier International :
« Mais en dépit de tout ce que nous avons perdu, nous, les Japonais, avons retrouvé une chose, l’espoir. Le grand tremblement de terre et le tsunami nous ont privé de bien des vies et de bien des ressources. Mais nous, qui étions si ivres de notre propre prospérité, avons replanté le ferment de l’espoir. Voilà pourquoi j’ai choisi de croire. » Ryû Murakami