
Les habitants de la cité phocéenne ont tendance à décrire leur ville comme délaissée, baignant dans une indolence pesante, en proie à une corruption endémique, mal foutue au niveau des transports, aux voies sales et mal entretenues par des services de nettoyage municipaux peu scrupuleux. Ce constat est juste, mais je me demande si la cité phocéenne ne souffre pas aussi d’être trop désirée, de susciter des attentes qu’elle n’est pas à même de satisfaire de la part des populations de divers statuts socioéconomique qui s’y installent, bon gré mal gré. Sa destinée, son vivre ensemble, son humour et sa bonhomie légendaire semblent simultanément contrariés.
Enfer urbain, purgatoire et traumas
On connait la complainte de la ville sacrifiée par une succession de prises de décisions politiques autant urgentes qu’aberrantes, tant au niveau local que national tout au long du XXe siècle : porte bousculée de l’Empire colonial, accueil précipité des Pieds-noirs à la fin de la guerre d’Algérie, immigration massive en provenance de la Tunisie, de l’Algérie et du Maroc suite à la décolonisation et aux indépendances africaines, immigration économique puis désindustrialisation, zone pétrolière et chimique de Fos-sur-Mer, pollution de l’étang de Berre, fragmentation urbaine et réfugiés de tous horizons ont imposé à Marseille de violents virages et un développement en montagnes russes, qui a définitivement abîmé sa jolie image d’Epinal de capitale de la Provence et de grand port maritime issu de la noblesse grecque. De hautes et moches barres d’immeubles sont venues balafrer les entrées de la ville jusque sur le versant des Calanques, les « quartiers nords » et leur légende sombre sont nés, les autoroutes l’ont violée en pénétrant jusqu’en son cœur : il n’y a pas si longtemps, avant les travaux sur la Joliette et la construction du parvis du futur MuCEM, la cathédrale de la Major était inaccessible à pied, isolée contre la mer par les voies rapides qui conduisaient directement au Vieux-Port et qui l’ont noircie de pollution. En fait, un peu partout dans la ville on ne peut que constater la volonté de la bétonisation et du tout-voiture, et ses conséquences indélébiles.
Actuellement, on tente de cicatriser ce crime urbain, avec la construction et la prolongation du tramway nouveau style. Or Marseille jouissait déjà d’un grand réseau, ou du moins de ses vestiges. L’ancien tramway de Marseille a circulé dans l’agglomération entre 1876 et 2004, faisant de celle-ci l’une des trois seules agglomérations françaises à avoir possédé un réseau de tramways sans interruption durant tout le XX e siècle. Le nouveau tramway de Marseille circule depuis 2007. La Gare Saint Charles a été agrandie et son hall intérieur rénové, ce qui n’en fait pourtant pas une des gares les plus accueillantes et agréables du pays, Elle reste remplie de stress, de regards apeurés et de pas précipités, de misère aussi avec de plus en plus de SDF qui campent sur ses flancs. Mais on peut toujours y prendre « le train bleu » pour se rendre au nord à Martigues, en passant par l’Estaque, le long de la Côte bleue. Il faut aussi évoquer le suicide prémédité de la SNCM au profit de Corsica ferries et Corsica Linea, et le manège incessant de monstres maritimes sur ses côtes, les nouvelles pollutions qui vont avec…
La ville, dopée par son succès promotionnel et l’arrivée de nouveaux habitants, est en phase de récupération maladroite. Le tracé du tramway se superpose pratiquement à celui du métro (composé de deux lignes, 1 et 2 qui se croisent aux stations place Castellane ou gare Saint-Charles, ce qui en fait un des réseaux de métropolitain les plus simplistes). Le réseau de bus ne peut pas résoudre à lui seul cette évidence et cette absurdité. Ni l’usage des trottinettes ou des vélos électriques, dont les stations fonctionnent ou pas, cela dépendant du vandalisme et du je-m’en-foutisme très répandus ici. Sans oublier d’évoquer en toile de fond une autre forme d’incivilité chronique, avec des véhicules partout mal garés qui bloquent le passage des piétons sur les trottoirs, les écarts nombreux au code de la route et le peu de cas des personnes âgées ou à mobilité réduite en ville. Marseille dispose de peu de voies cyclables malgré la Cannebière réaménagée et le magnifique parcours offert aux piétons et aux vélos sur la corniche.
Lassés, une partie de ses anciens habitants préfèrent prendre le vent d’escampette, tandis qu’elle ploie sous la charge d’espoirs démesurés, de désirs inadaptés de la part des nouveaux arrivants, D’ailleurs ceux-ci, les « Venants » selon l’expression de Hadrien Bell dans Cinq dans tes yeux, ne restent pas forcément longtemps après une tentative d’installation.
En témoignent les chiffres, Marseille séduit toujours plus avec près de 2 188 nouveaux foyers installés rien que ces six derniers mois. Mais combien de temps restent ces néo-marseillais ? Entre la « saleté » ou encore la « complexité des transports », certains venants comme Estelle, Charlotte ou encore Quentin ont choisi de s’installer dans la cité phocéenne avant de plier bagages un peu désenchantés.
Source : « La lune de miel a duré 5 mois » : déçus, ces néo-Marseillais ont préféré quitter la ville – par Marion BIOSSE DUPLAN – publié dans La Provence, le 15/09/23
La Bonne Mère est fatiguée
Son image publicitaire formatée à partir d’éléments réel, dont son ensoleillement généreux, sa proximité aux plages des Calanques, son art de vivre, son fameux franc-parler avec des expressions typiquement marseillaises, est sensée attirer davantage les investissements dans une sorte de compétition sans fin entres les grandes villes françaises du Midi (Toulouse, Montpellier, Nice) et européennes (par exemple avec Barcelone, Valencia, Naples ou Istanbul). Ce qui fait monter en flèche le prix de l’immobilier dans une des villes les plus pauvres si on considère la moyenne générale de revenu par habitant, et de fait crée de fortes tensions pour trouver un logement décent sans y laisser plus de la moitié de son salaire. Les impôts – pour ceux qui en payent – deviennent trop élevés en regard des services et administrations de la ville. Des zones oubliées, enclavées comme la Belle de Mai, périclitent irrémédiablement (lire Street art Marseille 2023 – La Belle de Mai).
Les immeubles mal entretenus qui s’écroulent nourrissent grands titres et faits-divers dans la presse. D’autres quartiers privilégiés et enviés, plus au sud, à l’est, semblent faire sécession avec le reste de l’agglomération, en vivant dans l’entre-soi et la prise de distance de bon aloi. Discrétion, méfiance, suspicion deviennent progressivement des réflexes partagés, aussi bien par les zones déshéritées que celles aisées ou très favorisées ; attitudes de protection, sinon stratégies pour emboiter le pas dans une trajectoire qui ne ressemble en rien aux particularités régionales et rend beaucoup d’anciens comme de nouveaux Marseillais de mauvaise humeur.
L’effondrement des immeubles rue d’Aubagne à Marseille se produit le 5 novembre 2018 à 9 heures et provoque la mort de huit personnes. Il s’agissait de deux immeubles vétustes du centre-ville, aux nos 63 et 65 rue d’Aubagne, dans le quartier de Noailles. Wikipedia
X
Marseille deviendrait-elle taciturne et timide ?
Marseille nouvelle vague tente de séduire, selon les modalités qu’on retrouve au niveau national, c’est à dire des individus aux cerveaux disponibles, aux corps pénétrables et aux vies transparentes, pour vivre une aventure plus virtuelle que réelle. Au point d’y perdre son âme ! Ce n’est donc pas une particularité locale. Mais la solitude moderne due à l’esprit de compétition, à l’individualisme, à la suspicion généralisée accentuée par la phase Covid, les saillies souvent violentes dans l’espace urbain, ainsi qu’un manque latent d’humour du fait d’une normalisation des échanges sont plus criants dans la cité phocéenne. Comme les tabous se répandent comme la peste dans la vie politique – autrement dit dans « les affaires de la Cité » en grec – avec des thèmes abordés seulement à mi-voix, tels les stratégies gouvernementale comme européenne pendant les trois ans de covidisme, les effets secondaires des injections obligatoires, la santé mentale de la population qui se dégrade ainsi que ses conditions de vie, le rôle de la France dans le conflit russo-ukrainien et désormais celui israélo-palestinien (donc toute la politique étrangère de la nation), le coût de ces conflits sur l’économie, plus largement la souveraineté du pays en train de se détricoter toujours plus rapidement, même les Marseillais les plus aguerris aux batailles de mots semblent devenir aphones sur certains sujets relevant de la sphère publique.
D’autant plus que le seul sujet de la Palestine est extrêmement délicat, parfois clivant, dans une ville à l’arabité manifeste. L’attitude officielle de la France, allié désormais inconditionnel d’Israël, plombe inévitablement le climat marseillais. On peut aussi se demander en quoi la supposée culpabilité française, héritée du régime de Pétain et de la shoah, d’où découle l’attention particulière vis-à-vis de la communauté juive, voire l’indulgence pour le mouvement sioniste aujourd’hui fascisant, ne nourriraient pas en miroir une exigence de réparation éternelle venant de tout l’ancien empire colonial. Ou comment instrumentaliser le statut de victime pour exiger reconnaissance, privilèges et soins de la Mère patrie, alors que les événements de la deuxième guerre mondiale puis de la décolonisation se sont déroulés il aura bientôt un siècle, et que nous sommes désormais dans un tout autre espace-temps. On a l’impression de vivre les dernières convulsions d’une époque qui s’enfonce dans la nuit du passé, mais qui pèse toujours sur les jeunes générations.
Sur la question palestinienne : l’inconditionnelle innocence occidentale – La passivité de l’Occident à l’égard de la tragédie endurée par Gaza ne peut être comprise qu’à l’aune de la « question palestinienne » passée sous silence depuis une décennie. Ce n’est qu’en prenant la mesure de celle-ci qu’il est possible de saisir l’ampleur de ce qui se joue actuellement dans cette partie du monde, les destins de la Palestine, d’Israël de l’Occident étant liés. Collectif Chronik
« Quant à Israël et au monde juif, ils sont tous deux en train de perdre la légitimité et le respect que leur valaient la Shoah et des siècles de persécution en Europe. Comment un peuple qui a subi de telles épreuves peut-il adopter un comportement aussi inhumain vis-à-vis d’enfants et de civils innocents ? Si la mémoire de la Shoah n’est plus le rappel désintéressé du Crime des crimes mais un instrument de propagande qui sert à justifier un sionisme éradicateur, si la lutte contre l’antisémitisme n’est plus le juste et nécessaire combat contre le racisme anti-juif mais un outil qui sert à légitimer un Etat prédateur dirigé par un leadership corrompu, il deviendra alors très difficile de soutenir ces causes. »
Guy Mettan dans Le suicide de l’Occident et la revanche du Sud-Orient

Vivre hors-sol, au soleil sous le règne macronien
À force de parler dans l’air, de ne plus accorder de sacré à la parole ni au monde réel, une partie de la société française, celle qui en appelle toujours à la modération et au vote utile, le ventre-mou de la bourgeoisie qui hante les institutions républicaines, les médias ou qui contribue dans le secteur privé à la bonne tenue du PIB, au respect des critères de Maastricht et autres standards dictés par l’Union Européenne vit hors sol. Son bel horizon matériel, intellectuel et spirituel s’évanouit ; qu’il soit étincelant comme une boule disco de miroirs à facette, ou bleu et jaune, comme le drapeau ukrainien scandaleusement affiché encore sur quelques mairies, sinon comme le drapeau de l’UE à fond d’azur et à la couronne d’étoiles – qui évoque l’auréole de la Vierge Marie ou la couronne d’épine du Christ. Elle perd pied inexorablement, le réel se défausse et la barre du navire se dérobe malgré un autisme et un aveuglement de caste.
Ils, elles sont des cadres ++, des responsables qui assurent l’éducation des masses et diffusent par osmose leur « savoir-être » et « savoir-faire », gardent pour eux leur « savoir-savoir » mais n’ont plus de savoir-vivre. Cette catégorie sociale vit sur sa réserve et dans ses terrains repliés. Les personnes aux vécus divers qui la composent peuvent se rapprocher uniquement de leurs semblables et craignent l’altérité comme la peste, croient qu’ils sont assis sur du solide et savent toujours sociabiliser selon les meilleurs critères, c’est-à-dire les leurs, afin de faire prospérer un capital symbolique pourtant en banqueroute. Certains estiment même avoir encore le luxe de faire acte de charité, preuve d’empathie, alors que ce sont eux, elles qui ont le plus besoin des autres mais n’osent pas se l’avouer, enfermés dans leurs zones de confort et leurs jeux de rôle. Ils ne se sentent en altitude que de pouvoir contempler la chute d’êtres en difficulté autour d’eux.
La médiocratie face à la/sa pauvreté
Ces nouvelles gueules cassées, victimes volontaires de l’info-spectacle et addicts à la propagande de guerre, les amochés du covidisme, les suivistes de la Ripoublique en déroute n’ont que des intérêts, des alliés ou des concurrents, des faire-valoir, des supérieurs hiérarchiques, des sous-fifres et éventuellement des esclaves, mais plus d’amis. Ces éternels confinés ont bien retenu qu’un baiser peut provoquer la mort. Ce qu’ils donnent d’une main, ils le reprennent de l’autre avec les intérêts. L’amitié comme l’amour ne doit pas être viral, sinon c’est tout leur schéma protecteur et résilient qui s’écroule. L’autre est devenu un agent pathogène, pourtant ils ne voient même pas la tour d’où ils font le guet s’enfoncer dans les sables mouvants du néant, et eux sombrer dans la folie douce et la dématérialisation des sentiments.
En parallèle, s’affiche le mal-être de déracinés comme les « sans-papier » et les migrants économiques, qui ont fait par exemple de l’esplanade Saint Charles et des environs leur principal lieu de ralliement. La facilité de rester en contact avec son pays d’origine et ses familiers via les smartphones et réseaux sociaux rend leur intégration moins vitale. J’ai aussi pu constater sur les places, dans les rues aux odeurs de kebab, de diesel et de shit, le désespoir, la violence à fleur de peau, l’homophobie et le machisme d’hommes d’origine maghrébine, se sentant apparemment bien installés à Marseille. Sans vouloir prendre la pente si facile du racisme, ce sont des comportements qui ont été souvent évoqués dans des discussions avec différents types de personnes, dont des Françaises et des Français d’origine étrangère, ouverts et soucieux d’harmonie, attirés ici par un esprit de modernité et de tolérance que ne leur offre pas leur pays d’origine. Ils, elles regrettent et condamnent ces attitudes qui jouent en défaveur de l’image de l’étranger, de l’étrange immigré venu d’ailleurs pour des raisons forcément un peu barbares et envieuses… et qui fait le lit des idées d’extrême-droite, le succès du RN dans les médias.
Vénalités Web.2
On ne peut même pas parler de « communauté immigrée » tellement les objectifs sont divers et les trajectoires éclatées. Le premier désir d’un migrant, c’est de se singulariser de la masse de ses compagnons de voyage, compagnons de fortune, pour faire germer sur une terre étrangère sa petite graine férocement conservée dans ses replis de ses rêves. Cependant, en plus de la facilité (ou parfois l’unique solution) de recourir aux trafics en tout genre, dont celui de la drogue, existe un autre type « d’économie » ou de marchandage : la croyance que quelque part dans la forteresse Europe, une femme blanche, esseulée, riche et triste est en attente d’un homme noir plein de vitalité – l’inverse est aussi vrai, également dans sa version homosexuelle masculine. Les réseaux d’hameçonnage de potentielles victimes par téléphone, Instagram ou Facebook sont bien réels. La complainte de l’âme sœur miracle et disponible à l’autre bout du monde s’entend depuis le cœur de l’Afrique, du Congo au Maroc, jusqu’aux marches de Saint-Charles, des quais de l’Angleterre aux villes allemandes et encore bien plus loin. Le mal-être affectif et sexuel des Européens est connu par les Africains depuis bien longtemps. La rencontre de ces deux continents a créé de belles histoires d’amour, des métissages de cultures, de beaux enfants vifs et vigoureux, mais aussi des élans de vénalité, des histoires de couple tragiques et de nouvelles formes de prostitution.
Intégrismes et replis identitaires
Voit-on se concrétiser en ce moment en Europe-UE une alliance de circonstance entre deux cultures et religions qui ne s’y sont jamais vraiment entendues voire tolérées ? Je veux parler d’un pacte entre certains juifs et chrétiens. Cet accord tactique semble lier les plus extrémistes, les fondamentalistes juifs, ceux au pouvoir en Israël et qui imposent la théocratie, les pro-sionistes et les cathos intégristes proches de l’extrême droite en Europe, nostalgiques de la grandeur des monarchies et empires européens. Trois groupes qui partagent les mêmes versions de racisme et de suprématisme. Les modérés issus de cet imaginaire bloc judéo-chrétien (en opposition au bloc islamique selon la fausse théorie du choc des civilisations) et présents dans la population, plus pragmatiques et ouverts, car plus intéressés par l’altérité et le métissage, moins inquiets d’une pureté fantasmée, pratiquent de fait le mélange des cultures et davantage de tolérance, quand ils ne sont pas devenus athées, laïcs. Tout comme ceux issus de cultures islamiques en voie de sécularisation.
On peut y entendre le chant du cygne (ou l’hallali) d’archaïsmes humains, de groupes sociaux en perte de repère s’accrochant à leurs totems respectifs, qui font alliance sur des valeurs soi-disant sacrées, et remettent inlassablement en scène des pièces de théâtre éculées, usent de trucages vieux comme la prestidigitation. Mais qui sont capable de mettre à feu et à sang la moitié de la planète pour imposer leurs dogmes et faire passer leur chute ou leur décadence pour un envol et une renaissance. L’adversité leur est nécessaire pour exister. On peut mettre également face à ces ombres du passé, les intégrismes issus en particulier du monde musulman.
X
Marseille crû 2024 pourrait se comparer à une grand bol d’aïoli savoureux savoureux (type de mayonnaise à base d’œuf, d’huile d’olive, d’ail, de citron et de moutarde, plus sel et poivre) qui avait bien pris mais qui se défait dans l’aigreur et l’acidité. Je n’oublie pas pour autant les belles rencontres que j’y ai faites, l’attention, la bonne humeur et le soutien d’Amélie, de Betty ou de Camille du Bar Jo, qui ont rendu plus humaine cette ville tendue, où les seuils de tolérance deviennent historiquement bas. Mais c’est peut-être comme la marée, cela va remonter progressivement en fonction de l’intensité des prochaines lunes. Les Grecs ont apporté leur vision solaire de l’humanité comme fondement de la cité phocéenne, mais malgré le souffle fort et récurrent du Mistral, ce soleil est actuellement en partie voilé.
Florent Hugoniot
X
**********************************************************************************
SOURCES
https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/effondrement-d-immeubles-a-marseille/
https://www.legrandsoir.info/la-defaite-de-l-occident-e-todd-lance-une-bombe.html
https://www.legrandsoir.info/bienvenue-dans-l-empire.html
https://blogs.mediapart.fr/h-jan/blog/280124/une-societe-cul-par-dessus-tete



























Il y a beaucoup d’articles disponiles en accès lire sur le net concernant le génocide en cours à Gaza, mais aussi qui traitent de la désinformation en cours et des a priori entre les bons israéliens sur la défensive et les méchants palestiniens terroristes, une nouvelle forme de racisme décomplexé qui légitime l’anihilation du peuple palestinien jusque dans son istoire et ses particularité culturelle, ou tout simplement son droit à exister. C’est une ustification du néo-colonialisme, partout présente sur les médias alignés en France. Par exemple :
Gaza, le monde et nous
« Depuis le début de cette guerre à Gaza, le fossé entre les continents et zones géographiques, les tensions et fractures au sein de plusieurs pays se creusent comme jamais auparavant. Il est malheureusement et sérieusement à craindre que nous vivions dans un monde qui assiste à un déclin patent des valeurs universelles et des conventions juridiques communes à l’humanité. »
https://blogs.mediapart.fr/ziad-majed/blog/310124/gaza-le-monde-et-nous
« Il n’y a pas eu de pandémie
Incroyablement, malgré les preuves accablantes du contraire, de nombreuses personnes croient encore que le monde a récemment connu une pandémie mortelle de coronavirus qui a tué des millions de personnes. Il existe un nombre considérable de preuves selon lesquelles il n’a agi en réalité pas d’une véritable pandémie mais d’une opération psychologique pseudo-pandémique.
L’ensemble du récit de la pandémie de covid repose sur deux piliers principaux : qu’un nouveau virus pathogène a été réellement identifié et qu’un test de réaction en chaîne par polymérase (PCR) pourrait identifier avec précision le virus présumé. Si l’un ou l’autre de ces piliers n’est pas correct, tout le récit du Covid s’effondre. Aucun des deux n’est correct.
Aucun virus n’a jamais été correctement isolé, identifié et caractérisé selon la méthode scientifique et le test PCR s’est révélé de manière exhaustive comme un générateur inutile de résultats non spécifiques et faussement positifs, par un groupe de scientifiques indépendants, très peu de temps après les détails de les RAP ont été rendus publics en 2020. (…) »
https://reseauinternational.net/les-deces-au-cours-de-la-premiere-vague-de-la-pseudo-pandemie-ont-ete-causes-par-liatrocide/