
Quand Niel plongeait dans le lac, c’était après tout un cérémonial que lui seul comprenait. D’abord, il laissait ses affaires sur le sol de la cabane où il s’était déshabillé, en cercle bien ordonnées, qui faisaient comme un rébus d’objets. Ces vêtements et accessoires résumaient sa vie civilisée. Une fois nu, il inclinait la tête pour en prendre congé.
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